Henry Morton Stanley: differenze tra le versioni

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et il fut conduit dans un camp de prisonniers de guerre près de Chicago. Celui qui passait aux troupes de l' Union pouvait quitter le camp. Étant donné le typhus régnant, Stanley se décida à agir de la sorte. Il devint malade dans l'armée des États nordistes et fut réformé en conséquence.
et il fut conduit dans un camp de prisonniers de guerre près de Chicago. Celui qui passait aux troupes de l'Union pouvait quitter le camp. Étant donné le typhus régnant, Stanley se décida à agir de la sorte. Il devint malade dans l'armée des États nordistes et fut réformé en conséquence.
Il participe ensuite avec réticence à la guerre de Sécession comme soldat sudiste, notamment à la bataille de Shiloh, mais aussi comme nordiste2, avant de travailler comme navigateur et de devenir journaliste2. Il s'engagea tout d'abord sur différents bateaux de la marine marchande, et en 1864 à nouveau dans la marine militaire de l'Union. Étant donné sa belle écriture, il devint l'écrivain-rapporteur du bateau (doute sur la traduction) le Minnesota. Juste avant la fin de la guerre en 1865 il déserta et se rendit à St. Louis, où il obtint un contrat comme correspondant indépendant d'un journal local. Il écrivit des nouvelles de l'Ouest Sauvage: Denver, Salt Lake City, San Francisco. À la suite du général major Winfield Scott Hancock il participa aux guerres indiennes. Bien que l'année où il fonctionnait comme 'journaliste' soit caractérisée par des négociations de paix, il rédigea des articles au sujet de batailles dramatiques, ce que son éditeur attendait. De cette manière, il attira l'attention de James Gordon Bennett Jr., l'éditeur du New York Herald, un journal à sensations. En 1867, il devient correspondant pour le New York Herald2 et couvrira notamment une affaire en Abyssinie (Éthiopie)1.
Il participe ensuite avec réticence à la guerre de Sécession comme soldat sudiste, notamment à la bataille de Shiloh, mais aussi comme nordiste2, avant de travailler comme navigateur et de devenir journaliste2. Il s'engagea tout d'abord sur différents bateaux de la marine marchande, et en 1864 à nouveau dans la marine militaire de l'Union. Étant donné sa belle écriture, il devint l'écrivain-rapporteur du bateau (doute sur la traduction) le Minnesota. Juste avant la fin de la guerre en 1865 il déserta et se rendit à St. Louis, où il obtint un contrat comme correspondant indépendant d'un journal local. Il écrivit des nouvelles de l'Ouest Sauvage: Denver, Salt Lake City, San Francisco. À la suite du général major Winfield Scott Hancock il participa aux guerres indiennes. Bien que l'année où il fonctionnait comme 'journaliste' soit caractérisée par des négociations de paix, il rédigea des articles au sujet de batailles dramatiques, ce que son éditeur attendait. De cette manière, il attira l'attention de James Gordon Bennett Jr., l'éditeur du New York Herald, un journal à sensations. En 1867, il devient correspondant pour le New York Herald2 et couvrira notamment une affaire en Abyssinie (Éthiopie)1.


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Son œuvre pour Léopold II[modifier]
Son œuvre pour Léopold II[modifier]


Le roi Léopold II de Belgique lisait aussi ses articles. Soucieux de la sauvegarde et du prestige de son petit pays coincé entre deux grandes puissances ennemies, la république Française et l'Empire Allemand, le jeune monarque cherchait à acquérir des colonies. Plusieurs essais pour en obtenir avaient été déjà effectués en vain. L'Afrique était alors la chasse gardée de la France et du Royaume-Uni. Léopold commença par fonder une "Société philanthropique pour l' Exploration du Congo". En septembre 1876, il organisa une grande conférence géographique à Bruxelles, où il fut question de l'exploration du Congo.
Le roi Léopold II de Belgique lisait aussi ses articles. Soucieux de la sauvegarde et du prestige de son petit pays coincé entre deux grandes puissances ennemies, la république Française et l'Empire Allemand, le jeune monarque cherchait à acquérir des colonies. Plusieurs essais pour en obtenir avaient été déjà effectués en vain. L'Afrique était alors la chasse gardée de la France et du Royaume-Uni. Léopold commença par fonder une "Société philanthropique pour l'Exploration du Congo". En septembre 1876, il organisa une grande conférence géographique à Bruxelles, où il fut question de l'exploration du Congo.
Lorsque Stanley revient en Europe en janvier 1878, deux délégués du Roi Léopold II de Belgique, le baron Greindl et le général Sanford, l'accueillent à Marseille et lui font part des projets du roi de créer un État dans le bassin du Congo. Ayant des difficultés à obtenir du soutien chez les Britanniques2, il accepte. Le 10 juin 1878 Léopold II rencontre Stanley et ils passent un marché. Stanley va acquérir le Congo pour le roi, Léopold II s'occupe de faire en sorte que cela soit en ordre formellement. Ils passent un accord pour cinq ans. Stanley obtient un financement du roi, mais doit cependant se trouver des moyens additionnels pour financer ses expéditions. Il donne donc des conférences et obtient de sociétés missionnaires qu'elles le financent.
Lorsque Stanley revient en Europe en janvier 1878, deux délégués du Roi Léopold II de Belgique, le baron Greindl et le général Sanford, l'accueillent à Marseille et lui font part des projets du roi de créer un État dans le bassin du Congo. Ayant des difficultés à obtenir du soutien chez les Britanniques2, il accepte. Le 10 juin 1878 Léopold II rencontre Stanley et ils passent un marché. Stanley va acquérir le Congo pour le roi, Léopold II s'occupe de faire en sorte que cela soit en ordre formellement. Ils passent un accord pour cinq ans. Stanley obtient un financement du roi, mais doit cependant se trouver des moyens additionnels pour financer ses expéditions. Il donne donc des conférences et obtient de sociétés missionnaires qu'elles le financent.
Entretemps, Stanley collectionne des contrats d'achat des terres autour du fleuve. Les chefs de tribus, qui signaient des documents dans une langue inconnue, ne savaient en effet pas ce qu'ils faisaient. Une clause des contrats indiquait, que non seulement le sol, mais aussi la force de travail des habitants devenaient possession de Léopold II.
Entretemps, Stanley collectionne des contrats d'achat des terres autour du fleuve. Les chefs de tribus, qui signaient des documents dans une langue inconnue, ne savaient en effet pas ce qu'ils faisaient. Une clause des contrats indiquait, que non seulement le sol, mais aussi la force de travail des habitants devenaient possession de Léopold II.

Versione delle 11:26, 14 ago 2014

Ritratto di Henry Morton Stanley

Henry Morton Stanley (Denbigh, 28 gennaio 1841Londra, 10 maggio 1904) è stato un giornalista ed esploratore britannico, gallese di nascita, famoso per le sue esplorazioni africane e per la sua ricerca di David Livingstone. È celebre la frase con la quale Stanley salutò Livingstone una volta incontrato: "Il dottor Livingstone, suppongo".

Biografia

Nato come John Rowlands, a Denbigh nel Galles nord-orientale, ebbe una infanzia travagliata. Non conobbe mai il padre e sua madre lo abbandonò in una orfanotrofio all'età di sei anni, dove rimase fino ai quindici anni. A diciassette anni si imbarcò per New Orleans, dove arrivò nel febbraio del 1859, pagandosi il viaggio lavorando come marinaio sulla nave. Qui conobbe e lavorò per un facoltoso commerciante di nome Henry Stanley, di cui prese il nome dopo la morte, nel 1861, come segno di gratitudine per colui che lo aveva cresciuto come un figlio.

Dopo aver combattuto nella guerra di secessione americana su entrambi i fronti, Stanley divenne giornalista per il New York Herald nel 1867. Divenne corrispondente dall'estero, e dopo varie corrispondenze dall'ovest del Nord America e dalla Turchia, nel 1869 andò in Africa, dove si occupò delle guerre tra britannici e abissini che ebbero luogo in quel periodo lungo i confini dell'Etiopia. Sempre nel 1869 fu incaricato dal suo giornale di trovare e intervistare l'esploratore scozzese David Livingstone, che era noto che si trovasse in Africa orientale, ma di cui si erano perse le tracce da diversi mesi.

I primi anni (1841-1856)

Il registro delle nascite della città di Denbigh nel Galles annota il 28 gennaio 1841 la nascita di un bambino, figlio naturale: "John Rowlands, bastardo". Henry Morton Stanley soffrì tutta la vita di questa nascita fuori dal matrimonio. Sua madre, Betsy Parry, lavorava come domestica e diede i natali ad altri quattro bambini negli anni che seguirono. A suo figlio, non rivelò mai chi fosse suo padre che forse poteva essere John Rowlands, un beone ben conosciuto in città oppure, forse, un avvocato sposato che rispondeva al nome di James Vaughan Home.

La donna lascia quel bambino al nonno. Quando John ha 5 anni, il nonno muore e lui viene affidato a una famiglia. Però, ben presto, questa non viene più pagata per il mantenimento del bambino e John va a finire in una casa di lavoro, la San Asaph, l'equivalente di una casa di correzione. Nel 1847, una commissione d'inchiesta constata che nella casa si "commette ogni sorta di abuso", diretta da un alcoolizzato "che si prendeva tutte le libertà sugli occupanti". I bambini dividevano i letti e, quando non erano maltrattati dagli adulti, i più anziani si rivalevano sui più piccoli, anche la notte. John Rowland viene perseguitato tutta la vita dalla fobia per la sessualità e la vicinanza corporale.

In ogni modo, deve al soggiorno in questa casa di lavoro una certa educazione scolastica. Il ragazzo era un buon allievo, interessato alla geografia. Per le sue buone prestazioni, gli viene donata una bibbia con la dedica del vescovo. John incontra solo una volta sua madre durante quel periodo, quando la donna porta altri due suoi bambini a San Asaph.

Stati Uniti (1856-1872)

A 15 anni, John lascia di propria iniziativa la casa di correzione. Lavora come operaio a giornata in diversi posti, finché, a 17 anni, si imbarca sul Windermere, una nave diretta a New Orleans. Arrivato là, si mette a cercare un lavoro, presentandosi a un negoziante di cotone che impressionò con la sua bibbia ricevuta in regalo: l'uomo si chiamava Henry Hope Stanley. Le descrizioni di Rowlands di quest'epoca - e non soltanto di questa - divergono dalla realtà. Scrive nei suoi diari che egli venne alloggiato presso gli Stanley, che fu adottato e che accompagnò la coppia di marito e moglie in viaggio; che la donna muore nel 1861, seguita subito dopo dal marito. Secondo i registri dello stato civile degli archivi di New Orleans, invece, il vecchio Stanley è morto solo nel 1878, 17 anni più tardi. Sua moglie e lui avevano, sì, adottato due bambini, tuttavia erano ambedue delle femmine. Il suo giovane impiegato Rowlands non aveva mai abitato da lui e, inoltre, Henry Hope Stanley e Rowlands avevano litigato tanto da cessare ogni contatto.

Soldato e scrittore (1861-1867)

Nel 1861, il giovane - che ora si chiamava Henry Stanley (Morton lo aggiungerà più tardi) - raggiunge l'Esercito Confederato per combattere nella Guerra civile americana. Nell'aprile del 1862, Stanley viene fatto prigioniero nella battaglia di Shiloh in Arkansas e da lì, viene portato in un campo di prigionia nelle vicinanze di Chicago. Quelli che passavano sotto la bandiera dell'Unione, potevano lasciare il campo. Stanley si unì allo Union Army il 4 giugno 1862, ma venne riformato 18 giorni dopo per motivi di salute.[1] Guarito, ha servito in diverse navi mercantili prima di entrare in Marina nel luglio 1864. A bordo del Minnesota divenne archivista, il che lo portò poi al giornalismo freelance. Stanley e un collega minore abbandonarono la nave il 10 febbraio 1865 a New Hampshire, in cerca di maggiori avventure.[2] Stanley divenne così forse l'unico uomo a servire nel Confederate Army, l'esercito dell'Unione e la Marina dell'Unione.[3]

"Trovate Livingstone!"

L'incontro fra Stanley e Livingstone in un giornale dell'epoca (The Illustrated London News , 1872)

Stanley chiese a James Gordon Bennett, Jr. (1841-1918), succeduto a suo padre nella direzione del giornale nel 1867, quanto avrebbe potuto spendere. La risposta fu "Prendete 1000 sterline, quando saranno finite, prendetene ancora 1000, e quando le avete spese, chiedetene altre 1000, e quando le esaurirete ce ne saranno altre 1000 e così via - MA TROVATE LIVINGSTONE!".
Stanley arrivò a Zanzibar e organizzò la spedizione senza badare a spese, tanto da richiedere non meno di 2000 portantini. Egli localizzò Livingstone il 10 novembre 1871, a Ujiji vicino il lago Tanganica, in quella che oggi è la Tanzania. Celebre è la frase che gli viene attribuita al momento dell'incontro, "Dr. Livingstone, I presume?" ("Dottor Livingstone, suppongo"), nel più classico understatement e formalismo britannico dell'epoca. Stanley si unì a lui nell'esplorazione della zona. Le ricerche stabilirono con certezza che non vi era nessun collegamento tra il lago Tanganica e il Nilo. Questa spedizione divenne famosa grazie al libro che Stanley scrisse per raccontarla. Il New York Herald, insieme al Daily Telegraph, finanziarono un'altra spedizione nel continente africano, in cui Stanley risolse uno degli ultimi misteri africani, percorrendo il corso del fiume Congo fino alla foce.

La spedizione di soccorso a Equatoria

Mappa (1890) di H.M. Stanley per raggiungere Emin Pasha

Il russo Vasilij Vasil'evič Junker, naturalista e geografo, decise di lasciare l'Africa proprio nel momento in cui il Sudan era sconvolto dalla rivolta mahdista. Il russo raggiunse con difficoltà Zanzibar, portando con sé missive di Emin Pascià, governatore di Equatoria. I documenti davano un'immagine della situazione africana che mise in fibrillazione l'opinione pubblica europea, tanto da spingere le istituzioni a organizzare una spedizione di soccorso a capo della quale venne messo Stanley che, nel 1886, partì per Equatoria. Stanley incontrò ostacoli e problemi immensi: il 29 aprile 1888, venne raccolto a bordo di un piroscafo su cui si trovava Emin Pascià insieme all'esploratore italiano Gaetano Casati. Stanley si trovò nella condizione paradossale di essere lui ad avere bisogno degli aiuti e dei rifornimenti del governatore che era venuto a salvare. Emin decise di lasciare al suo destino Equatoria, ormai ingovernabile. Così, il 10 aprile 1889, si mise in marcia insieme ai suoi uomini, a Casati e a Stanley, alla testa della sua malridotta spedizione di soccorso. L'eterogeneo gruppo, formato in totale da 1.500 uomini, affrontò il lungo e periglioso viaggio verso Bagamoyo, lontana 1.600 chilometri. Nel 1890, ridotta ormai a metà a causa di malattie, attacchi nemici, defezioni, la spedizione arrivò finalmente a Zanzibar. Durante questo viaggio, Stanley scoprì la catena montuosa del Ruwenzori e il lago Eduardo.

Ritorno in Europa

Dopo il suo ritorno in Europa, Stanley sposò l'artista gallese Dorothy Tennant, e fu parlamentare inglese dal 1895 al 1900 come membro degli unionisti. Morì a Londra il 10 maggio 1904. La sua tomba si trova nel cimitero della chiesa di San Michele a Pirbright, nella contea di Surrey; su una grande lastra di granito sono narrate le sue gesta.

Nel cinema

  • La storia del rapporto tra Livingstone e Stanley è raccontata nel film di Simon Langton del 1997 Forbidden Territory: Stanley's Search For Livingstone (in versione italiana: Terre proibite: in cerca di Livingstone). Inoltre, la ricerca di Livingstone è al centro della trama del film di Henry King "L'esploratore scomparso", del 1939.

Note

  • ^ Gallop, Alan. (2004) Mr Stanley, I presume – the life and explorations of Henry Morton Stanley, Sutton, p. 61
  • ^ Gallop, Alan. (2004) Mr Stanley, I presume – the life and explorations of Henry Morton Stanley, Sutton, pp 63–65
  • ^ Brown, Dee (1963). The Galvanized Yankees, University of Illinois Press (Urbana); ISBN 978-0-8032-6075-7, p. 58.
  • Voci correlate

    Altri progetti

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