Utente:Marikagreen/sandbox

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Template:Infobox Édifice religieux

Histoire[modifica | modifica wikitesto]

Le complexe de Saint George, du quel fait partie l'homonyme église, est une des plus anciennes installations monastiques de Salerne. Son origine remonte à la période longobarde: les prèmieres informations sur la structure se retrouvent dans un diplôme du 819, après 30 ans près du Complex archéologique de Saint Pierre à la Court. Dans le document il est indiqué comme dépendance du prestigieu monastère benedictin de Saint-Vincent et il est défini "cellam Sancti Georgi infra salernitanam civitatem".

Dans une première étape ça devait être une simple installation, ensuite développée dans une réelle structure monastique, en devenant, en 1163 la dépendance de l'Archevêque de Salerne. Dans les dernières décennies du XVI siècle, ensuite le "Breve" du pape Sisto V, les monastères féminins des villes venaient unifiés selon l'Ordre d'appartenance et à Saint George s'installèrent toutes les religieuses benedectines de Sainte-Sophie, Saint Michel et Sainte Marie Madeleine. Supprimé au début de 1800 à cause des décrets de Napoléon, il fut fermé définitivement en 1866. Survecu seulement l'église confiée à la municipalité, tandis que les structures monastiques devenaient domaniales et destinées aux garnisons de la brigade Financière du côté nord et de la Brigade des "Carabinieri" au sud.

Architecture[modifica | modifica wikitesto]

Le monastère se compose par deux grands ailes aux côtés de l'église, une au nord et une autre au sud. Cette configuration laisserait deviner un noyau originaire médiéval et une expansion en âge moderne sur les côtés. Une confirmation de cette hypothèse provient de la découverte des restes d'une abside décorée de fresques de l'église originaire, revenue dans les dernières restaurations, en bas de l'actuel plan de piétinement. En effet, elle se trouve à une brève distance de l'éntrée de l'église actuelle, mais avec une orientation inverse indiquant que l'entrée originaire était sur le côté de l'occident. La décoration de la fresque, avec des motifs géométriques à torsades et la partie inférieure d'une théorie des saints, indique un placement dans le cadre de la culture artistique médiéval. À cette période appartient un chancel marmoréen, maintenant conservé près du musée diocésain du Dôme de Salerne, représentant une croix centrale insérée dans une circonférence, commun dans la culture artistique du haut Moyen Âge, inspirée à des modèles d'origine byzantine et paléochrétien.La construction de la nouvelle église, avec le renversement du plant, se fait pendant les derniers décennies du XVI siècle, comme on peut le déduire par la Visite Sacrée de 1574. Précédemment a été realisé le portail de la Renaissance,fait réalisé par la badesse Lucrezia Santomagno, qui toutefois n’était pas situé dans la position actuelle. Sa collocation originaire est connectée à différents remaniements qui se vérifient dans l’ espace situé devant l’église. Avec le déplacement de la structure des Bénédictins, ont coïncidé les travaux pour le nouveau monastère, appellé “ de Saint George et de Saint-Esprit”, qui furent sous-traiter en 1590 au maître fabricant Giovanni Bernardino Iovane. Les travaux ont été completés en 1674. La structure de l’église, qui ressent de la culture contre réformiste et de celle de la fin du maniérisme, se fonde sur sept parements transversals. Derrière l’autel majeur il y avait le chorale qui, en 1702, a été fermé pour réaliser l’actuelle sacristie. La nef est scannée, en haut, par des fenêtres à voûte en berceau . Après quelques années, toutefois, à cause de problèmes de défaillance de toute la structure, ont été initiés de nouveaux travaux de restauration.Ces travaux  ont été faits , par commission de Ferdinando Saint-Felice, sur le côté septentrional, aujourd’hui  occupé par la Brigade Financière, et présente un certain nombre de réfections en commençant par l’élimination d’un grand escalier monumental pour faire place à l’ascenseur, à la fermeture des loges avec une ample vérande. Encore bien identifié le réfectoire aujourd’hui est destiné à la salle de représentation. Par quelques documents, on déduit que pendant les travaux , des abattages furent effectués pour créer les fondements et quelques sepultures furent retrouvées. La zone sud du monastère, correspondant à l’actuelle  garnison des “Carabinieri”, laisse entrevoir  l’installation sanfeliciano d’une structure en double "L" spéculère par rapport à l'axe central de l’église, de former un quadrilatère, fermé par un mur d’enceinte, tandis que les longs bras sont parallèles à la ligne de côte et le côté oriental relie les deux bras courts autour de l’église. Au rez-de-chaussée méridionale  sont encore visibles les arcs tamponnés d’arcade sur lesquels devaient être construites les cellules des religieuses. L’accès à l’étage supérieur avait  un escalier avec une parfaite perspective placée au coin côté court. Une image, datée de 1721, nous montre le monastère pendant une dispute entre les locataires d’un appartament sur le côté méridional qui voulaient construire  une embrasure surélevée , obstinément entravée par les religieuses parce qu’ elle aurait empêché aux religieuses la vue de la mer, l’air et la ventilation.   La configuration du monastère, encore fidèle à l’intervention de Saint-Felice, est parfaitement visible dans les plants du premier et du second étage, datés de 1862, juste après l’Unification de l’Italie et avant les adaptations aux garnisons.

Bibliographie[modifica | modifica wikitesto]

Notes et références[modifica | modifica wikitesto]

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Articles connexes[modifica | modifica wikitesto]

Liens externes[modifica | modifica wikitesto]

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